Quels  sont les principaux composants

d’un e-liquide:

L’Industrie du spectacle (discothèque, théâtre, cinéma, plateaux de TV) l’utilisent pour alimenter les machines à fumée : son évaporation permet de produire un aérosol réputé non toxique et permettant des effets spéciaux (fausses vapeurs, brumes artificielles, matérialisation des rayons laser ou lumineux…), a priori sans danger pour les acteurs ou les spectateurs.

Le contact prolongé avec la peau n’est pas ou peu irritant. On constate une irritation modérée en cas de contact cutané occlusif ou de projection de produit non-dilué . Il existe toutefois des cas d’allergie  ou d’eczéma de contact (par exemple lors de l’utilisation de crèmes dermiques utilisées pour traiter l’herpès labial). Il est fortement irritant pour les yeux. De manière générale, il est recommandé d’éviter le contact du produit avec la peau ou les yeux.

L’inhalation de vapeur de propylène glycol ne semble pas présenter de risques importants lors des usages courants. Une exposition d’une minute dans une atmosphère contenant une concentration importante de propylène-glycol dans l’air (309 mg/m³) provoque une irritation oculaire et respiratoire. Aucune valeur limite d’exposition professionnelle dans l’air n’est fixée dans l’Union Européenne ou aux États-Unis .

• Hydratant : il améliore l’onctuosité et la lubrification des préparations pharmaceutiques

•  Il est également utilisé dans les suppositoires, sirops contre la toux (expectorants)

Ces deux produits  sont présents de manière systématique dans tous les e-liquides dans des proportions différentes . Ils sont largement  utilisés  dans notre environnement ce qui semble indiquer qu’ils ne représentent pas de risques sanitaires.